Le debrief du 20 Octobre

Publié le 20/10/2017 à 20:00

Auteur : Kelian Nguyen

Creds : Alvinet
Creds : Alvinet
  • Affaire Maëlys : Une photo issue d’une caméra de vidéosurveillance montre la voiture du suspect à l’heure de la disparition. L’analyse du cliché se porte sur l’identification d’une forme blanche, tel que le vêtement de la fille, sur le siège passager. Pour rappel l’ADN de la fille a été retrouvé sur la voiture bien qu’elle fut minutieusement nettoyée et que le suspect clame depuis le début son innocence.

 

  • Tupperware : La direction de l’entreprise a annoncé la fermeture du site de Joué-lès-Tours en Indre et Loire. En février prochain les 235 postes seront définitivement supprimés suite à un ralentissement de l’activité générale du fabricant des fameuses boites hermétiques.

 

  • Catalogne : Une réunion s’est déroulée, hier soir, entre Emmanuel Macron et Mariano Rajoy au parlement européen enfin de discuter de la situation de la communauté indépendante. Suivra demain un conseil des ministres exceptionnel à Madrid afin de discuter de la mise sous tutelle de la région.

 

  • Affaire Weinstein : Le réalisateur Quentin Tarantino et ami proche de Weinstein, a déclaré regretter de ne pas avoir dénoncé ses dérives. Ayant suffisamment d’éléments pour intervenir, le réalisateur était sous la contrainte de perdre son producteur avec lequel il a travaillé notamment sur Pulp Fiction, Kill Bill ou Inglourious Basterds.

 

  • Europa League : Hier soir, trois équipes françaises arrivées à mis parcours de ces phases de groupe : Marseille s’imposent 2-1 face au portugais de Victória Guimarãres. Sur le même score mais à l’extérieur, Lyon fini par s’imposer face au anglais d’Everton malgré la grossière erreur d’arbitrage suite au coup anglais reçu par les rhodaniens. Plus tôt dans la soirée, Nice s’inclinait à domicile face au italien de Lazio de Rome sur le score de 1-3.

 

  • Classico : C’est désormais officiel. Les supporters parisiens sont à nouveau interdit de stade pour le match de dimanche. Depuis avril 2015, leurs déplacements sont interdits par le préfet de police des bouches du Rhône qui, au travers d’un arrêté préfectoral, a déclaré que leur présence « implique des risques sérieux pour la sécurité des personnes et des biens ».